Le blog de Tiprof : Photos ; textes ; anecdotes...

Pffiou, ça fait longtemps que je n'ai pas fait un tour sur le blog.

Alors les nouvelles :
1) Je suis prof de maths depuis le début de l'année scolaire, et il est possible que je vous donne de nombreuses anecdotes à propos de mes chères têtes blondes...
2) Conséquence : je suis riche ^^ Disons que j'ai pu investir dans certaines choses, comme un écran plat et une Xbox 360. Je donnerai peut-être des impressions sur des jeux. J'ai aussi un abonnement UGC illimité donc je vous donnerai certainement quelques avis sur les derniers films.
2) Les monstres ont un an et demi et se portent bien.
3) J'ai quitté Paris ! Je suis maintenant dans les Yvelines. 

Voilà les grosses informations.

@ bientôt !

Ce petit message pour souhaiter la bienvenue à mes deux petits compagnons : Denzel et Wesley.

Cela fait une semaine que nous avons fait connaissance et nous commençons à bien nous entendre... ! Sur la photo, c'est Wesley je crois, mais de toute façon ils se ressemblent comme 2 gouttes d'eau. Ils sont frangins d'ailleurs.

Ce sont des Rattus Norvegicus de couleur Husky. Ils sont nés à peu près à la mi juin.

Ce seront peut-être des futurs modèles photo si ils arrivent à tenir en place, ce qui n'est pas gagné... C'est vif c'est bêtes là !

On va se tenir compagnie mutuellement !

Eh oui ! C'est reparti pour un an. Hier, une petit détour par Paris, a changé mon statut. Je suis maintenant étudiant en Première année de l'IUFM de Paris (Paris 4 - Sorbonne). Autrement dit, je suis inscrit en préparation au CAPES (pendant qu'il existe encore...)

C'est étrange de changer de fac et de numéro d'étudiant. Je commençais à bien l'aimer, moi, mon 2408776 ! Le plus étrange, c'est que je change de fac, mais je continue à suivre les cours dans le magnifiques locaux amiantés de Jussieu !

Donc cette année, le but est de réussir le CAPES, et l'année prochaine, si tout se passe bien, je serai enfin prof. Donc il faut bosser, c'est reparti !

Cet article pour vous faire part d'un coup de coeur. Ce coup de coeur, c'est "Amour interdit" ("The sleeping dictionnary"), film produit en 2003, réalisé par Guy Jenkin, avec Jessica Alba et Hugh Dancy.

L'histoire se passe dans les années 1930. John Truscott, un jeune anglais, arrive dans une colonie et espère changer les choses (il est encore jeune et insouciant). Il arrive avec ses convictions, ses habitudes. Là-bas, il doit apprendre la langue des "indigènes" par le biais d'une "femme dictionnaire", Selima.

Les femmes dictionnaires ont pour mission d'apprendre leur langue aux jeunes anglais, mais sur l'oreiller... D'abord outré de telles pratiques, John Truscott finit par succomber aux charmes de Selima, et s'ensuit de nombreuses aventures que je ne vais pas vous raconter ici. À la place, je vous invite à regarder le film.

Plus qu'une simple histoire, ce film est une magnifique histoire d'amour. Mais contrairement aux autres du même genre, il montre aussi les doutes, les peurs, l'antagonisme. Ce film pose clairement une question :

Doit-on préférer l'amour à la raison ?

D'aucuns diront : "Mais voyons, nous ne sommes plus au 19ème siècle. Maintenant les gens se marient par amour." Certains ajouteront cyniquement : "D'ailleurs, ce n'est pas forcément mieux, vu le nombre de divorces..." Mais là n'est pas le débat.

Aujourd'hui, deux personnes se marient par amour, et je ne doute pas de cet amour. Mais dans leur histoire, il s'est souvent passé d'autres choses avant. Des déceptions, des trahisons, des séparations... Et c'est là que la raison intervient. Combien de couples adolescents ont été séparés de par un déménagement ? de part une peur du regard des autres ? de par une organisation compliquée ?

Et c'est là qu'intervient la raison à notre époque : on se marie souvent par amour, on se sépare parfois par raison.
Des personnes peuvent ne pas s'entendre, mais pourtant elle peuvent s'aimer. A-t-on plus de chance d'être heureux avec quelqu'un que l'on n'aime pas, si ça se passe mieux ou si c'est plus facile, que si l'on vit avec la personne qu'on aime, même si l'on se dispute et si l'on est pas d'accord, même si ça ne se fait pas, et si le regard des autres est lourd à porter ?

C'est là qu'on est en plein dans le sujet du film. Des couples s'aiment, mais ont-ils toujours oublié leurs amours adolescentes ? En sont-ils sortis indemnes ? Leur coeur est-il intact ?

Tout en saluant au passage les manifiques performances des acteurs du film, je réponds que non. Cet avis est bien sûr personnel. Certains penseront certainement le contraire. Et peut-être que dans leur cas personnel, ils auront raison. Mais quand on a des convictions, des idéaux, le premier pas vers le bonheur est de tout faire pour les préserver. Une de mes principales convictions (rappelons que j'ai été biberonné aux Disneys...) et que l'amour doit être le plus important.
Peut-on être heureux en faisant semblant d'aimer quelqu'un qu'on apprécie, parce que la personne qu'on aime est partie ? Je réponds non.

La vie n'est pas facile, et beaucoup de choses sont cachées quand on dit : "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants".

On peut vivre heureux sans rien d'autre que l'amour. On ne peut vivre heureux sans amour. C'est ma conviction.
Mais une fois de plus, chacun son idée !

Je vous laisse méditer !

Merci de voter pour moi en cliquant là (si vous pensez que la photo le mérite) :

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puis sur "Voter" (carré bleu en haut de la page) avant le 04 mai 2009.

Comment je l'ai installé, et mes premières impressions.

Cela faisait longtemps que j'entendais parler de linux. Je l'avais même déjà utilisé : à la cyberbase d'Alençon, dans le temps reculé où j'y allais, un des ordinateurs était sous linux, à la fac à Jussieu, tous les ordinateurs sont sous linux Mandriva. Mais voilà, je n'avais jamais passé le pas de l'installer moi-même sur mon ordinateur.

Cette année, avec l'étude des langages C et C++, faite sur linux à la fac, je me suis décidé à me renseigner, et plus si affinités.

Après avoir pris quelques renseignements sur Mandriva (utilisé à la fac) et Ubuntu (je connaissais de nom, et ça m'avait été conseillé), je me suis décidé pour Ubuntu presque au hasard. J'ai donc téléchargé la version 8.10, dénommée Intrepid Ibex ("Bouquetin Intrépide" pour les anglophobes).

Ensuite il a fallu passer à l'installation. Là, pour ne pas trop m'embêter, j'ai décidé de faire l'installation classique, avec rien à paramétrer moi-même. J'ai quand même choisi de garder mon Windows XP, donc cela compliquait un peu la tâche, car il fallait créer un "dual-boot", autrement dit, un menu me permettant de choisir ou bien Windows ou bien Ubuntu au démarrage de l'ordinateur.

Je lance mon installation avec du mal (j'avais mal gravé le CD, et il fallait paramétrer l'ordinateur pour qu'il lance le CD et non Windows au démarrage). Après plusieurs essais, le CD se lance et j'ai une session d'essai d'Ubuntu qui se lance.

Première réaction, pas spécialement importante, c'est que c'est beau. Le thème dans les tons orange-marron-brun est du plus bel effet (à mon goût bien sûr). Deuxième point : ça rame un peu, mais je suis sur le CD donc je me dis que c'est normal.

L'installation se fait sans aucun problème, le paramétrage du dual-boot, suivi pas-à-pas depuis les infos du site d'Ubuntu ne présente aucune difficulté, tout se passe bien. Il faut se renseigner un peu sur le partitionnement et faire de la place pour Ubuntu sur le disque dur, mais globalement tout va bien, et je me retrouve avec un beau Ubuntu tout neuf sur mon ordinateur.

Premier démarrage en mode installé. Et là... Pfffiou ! Ce que c'est rapide. Globalement, entre le moment où j'ai appuyé sur le bouton de mise en marche et le moment où on peut lancer une application, je dirais que 1 minute s'est écoulée, grand maximum, et il faut compter le temps que j'ai mis à taper mon mot de passe.

Ma carte wifi est immédiatement reconnue, et l'ordinateur, après que je lui ai donné le code du réseau, se connecte tout seul à la freebox. petite surprise : 291 mises à jour disponible... Il y en a pour 1h30 de téléchargement. Je laisse faire.

Après la mise à jour je commence à utiliser et là très vite, je me dis qu'il me manque quelque chose. Tous les documents que j'avais sous Windows sont très difficilement accessibles. Aussi décidai-je de réinstaller Ubuntu en me remuant un peu plus : j'abandonne le tout automatique et je fais un partitionnement manuel afin de créer un disque dur virtuel sur lequel je peux mettre tous mes documents, et accessible facilement à partir des 2 systèmes d'exploitation.

Là, il faut vraiment bien comprendre comment fonctionne Ubuntu, savoir comment "monter" ses partitions, contourner les nombre limite de 4 partitions (j'en avais 6 à faire en tout, et 4 autorisées... pas facile, mais il y a des moyens de contourner la limite). Je réinstalle sans plus de problème en faisant bien attention de recommencer le paramétrage du dual-boot.

Je redémarre, et pour commencer, j'apprends qu'il faut que je recommence mes 291 mises à jour... (:S) Je décide d'attendre un peu au cas où j'aurai besoin de réinstaller encore une fois...

En fait, cette installation aura été la bonne. Il faut que je déplace mes fichiers de la partition Windows vers la partion partagée, mais je le fais au fur et à mesure du classement. La plupart des logiciels Windows ont leur équivalent ubuntu. Bloc notes devient gedit, MSN devient Pidgin, Firefox reste Firefox, Openoffice reste Openoffice. Post it devient Tomboy, Lecteur Windows Media devient Totem.

Ubuntu intègre un gestionnaire d'effets graphiques nommé Compiz-fusion qui permet de faire beaux effets comme sur Vista mais sans ramer. Par exemple, le cube de bureau que l'on fait tourner, le sélecteur en cascade pour naviguer entre les fenêtres ouvertes...

Au final, j'en obtiens une très bonne impression. Actuellement j'ai juste quelques problèmes mineurs :
1) pas de reconnaissance de ma prise jack (autrement dit, je ne peux pas utiliser mes écouteurs, mais j'ai posté sur un forum et j'attends la réponse)
2) certains logiciels que j'utilisais sous windows ne sont pas disponible où fonctionnent mal sous linux (Izispot, Mediacoder,...)

Mais comme j'ai gardé Windows, de toute façon, je peux toujours les utiliser.

Voilà, j'espère que cet avis vous aura bien renseigné !

PS : j'ai fait la mise à niveau vers le nouvelle version 9.04 dénommée Jaunty Jackalope ("Jackalope enjoué", le jackalope étant un animal imaginaire du folklore américain, représenté souvent comme un lièvre avec des bois de cerfs). Ca se fait très facilement et automatiquement.

"Lorsqu'un seul homme rêve ce n'est qu'un rêve. Mais si beaucoup d'hommes rêvent ensemble, c'est le début d'une réalité"

Friedensreich Hundertwasser

C'est tombé comme ça. Tellement rapidement. Et maintenant c'est fini. Tu es partie.

C'est toi à qui j'ai dit le plus de choses, tu as presque toujours été à mes côtés. Tu n'as jamais refusé un câlin pour me consoler. Tu as partagé plus de la moitié de ma vie. Jamais tu n'as fait du mal autour de toi.

Ce matin, je n'ai même pas pu te dire au revoir, tu es partie, et tu ne reviendras plus jamais.

Jamais plus je ne pourrai te serrer dans mes bras ; jamais plus tu ne nous surprendras en passant entre nos jambes à la recherche de caresses ; jamais plus tu ne nous feras ce regard d'otarie... ; jamais plus tu ne nous regarderas manger dans la cuisine, assise sur le banc à l'extérieur ; jamais plus tu ne te couchera sur le côté, avide d'attention ; jamais plus tu ne me feras la fête quand je reviendrai le vendredi soir après une semaine d'absence.

J'ai tant de souvenirs avec toi ; tu me manques déjà. Pendant presque 11 ans, nous avons été réunis. D'abord, il y a eu cette particularité de dormir sous l'escalier avec tes parents, et c'est ce qui nous a décidé à te garder, toi. Puis ce jour où nous avons marqué des prénoms sur des morceaux de papier. Et tu t'es dirigée vers celui qui portait le prénom que j'avais choisi : Olympe. Il y a eu ces jours de jeunesse, à 9 sur le skateboard avec tes frères et soeurs. Puis cette vie entière, qui fut si l'on peut dire, une vie de chien comme toutes les autres. Tu as accompagné mon enfance et mon adolescence, tu as vieilli en même temps que moi, en quelque sorte.

J'ai bien plus de chagrin que je ne suis capable de l'exprimer, surtout avec de simples mots, mais il paraît que là où tu vas, les vies passent comme des secondes. Alors dès que tu arrives, retournes-toi, et nous serons derrière toi.

Adieu ma n'Olympe. Je t'aime. Je ne t'oublierai jamais.

Merci de voter pour moi en cliquant là :

http://www.missnumerique.com/concours-photo/?id=13363

puis en cliquant sur "Voter" (le carré bleu en haut de la page) avant le 30 mars 2009.

Théorème du Salaire, vu sur www.sciences.ch :

Tout le monde connaît le "Théorème du Salaire" qui établit que les ingénieurs et les scientifiques ne peuvent JAMAIS gagner autant que les hommes d'affaires et les commerciaux. Ce théorème peut enfin se démontrer par la résolution d'une équation mathématique simple.

Notre équation s'appuie sur deux postulats très connus :
Postulat 1 : La Connaissance c'est la Puissance
Postulat 2 : Le Temps c'est de l'Argent

Tout ingénieur (et je dirai même plus : tout étudiant ayant fait un minimum de physique) sait (ou a déjà vu...) que :

Puisque (c'est notre Postulat 1) :

et que (c'est notre Postulat 2) :

Nous avons donc (en remplaçant bêtement les choses égales) :

Nous otenons alors facilement (c'est juste un réécriture de la même chose) :

Ainsi quand la Connaissance tend vers zéro, l'Argent tend vers l'infini quelle que soit la valeur attribuée à Travail, cette valeur peut être très faible. A l'inverse quand la Connaissance tend vers l'infini, l'Argent tend alors vers zéro, même si la valeur Travail est élevée.

D'où la conclusion évidente suivante : Moins vous en connaissez, plus vous gagnez d'argent (et ce, à quantité de travail égale).

C.Q.F.D.

PS: Ceux d'entre vous qui ont eu quelques difficultés de compréhension doivent être les mieux rémunérés...